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Neil Gaiman, Neverwhere - roman fantastique

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Il y a des temps difficiles; des étapes dans la vie où nous vivons au jour le jour, où la phrase « vivre au moment présent » provoque le pincement au cœur et des épines sur le rosier de la vie déchirent le dernier petit bout d’espoir. Il y a des temps où le mot «s’enfuir» se transforme en mot « se réfugier » et c’est en ce moment précis, qu’on met son pied sur la terre inconnue. On suit un chemin menant vers le monde plus simple, plus compréhensible et surtout l’endroit plus sûr que notre lieu actuel. On lit.

Les confinements au fil de ma vie ont pris les formes variées et j’ai toujours découvert des solutions au cours de la lecture. D’autant plus que si des livres racontent des histoires qui ressemblent à ma situation, comme celle que je vis actuellement. Le livre que je présente ici a une résonance particulière avec le moment qu’on traverse. en tant que la richesse linguistique est intemporelle.

D’abord, je devrais vous dire que dans mon plus jeune âge, j’ai été fascinée par l’idée d’une ville cachée ou des endroits où j’ai pu passer à l’autre monde et avoir UNE AVENTURE avant de revenir à la grise réalité. Ce livre dont je vous parle est l’historie d’un homme qui, lui aussi, a été confiné dans sa vie. En lisant ce récit, j’ai suivi ses aventures à bout du souffle. En fait, ce qu’il a découvert n’était pas du tout le monde plus compréhensible (que j’avais imaginé) plutôt le contraire. Son histoire, ses échecs et ses victoires dans ce monde fantastique, qui se trouvait en-dessous de Londres, m’ont poussée à voyager et je n’ai jamais regretté.

Puis, j’apprécie tous les livres que j’ai lus de cet écrivain également pour les raisons linguistiques. J’admire la légèreté qui nous guide à travers du récit et, sans se rendre compte, on suit des appâts de mots déguisés comme des cailloux de Petit Poucet. J’ai particulièrement aimé les jeux de mots qui jouaient sur la prononciation.

Sans aucun doute, si vous, à l’endroit le plus profond et le plus caché de votre âme, vous vous retrouvez dans cette histoire, si vous, en cachette ou ouvertement, êtes un espèce de rêveur, un voyageur qui est perdu ou bien trop enraciné et qui n’a pas peur de la nuit sur le pont (à découvrir); on se croisera à Neverwhere, à Londres en-dessous. Il y a des temps difficiles; des étapes dans la vie où nous vivons au jour le jour, où la phrase « vivre au moment présent » provoque le pincement au cœur et des épines sur le rosier de la vie déchirent le dernier petit bout d’espoir. Il y a des temps où le mot «s’enfuir» se transforme en mot « se réfugier » et c’est en ce moment précis, qu’on met son pied sur la terre inconnue. On suit un chemin menant vers le monde plus simple, plus compréhensible et surtout l’endroit plus sûr que notre lieu actuel. On lit.

Les confinements au fil de ma vie ont pris les formes variées et j’ai toujours découvert des solutions au cours de la lecture. D’autant plus que si des livres racontent des histoires qui ressemblent à ma situation, comme celle que je vis actuellement. Le livre que je présente ici a une résonnance particulière avec le moment qu’on traverse. en tant que la richesse linguistique est intemporelle.

D’abord, je devrais vous dire que dans mon plus jeune âge, j’ai été fascinée par l’idée d’une ville cachée ou des endroits où j’ai pu passer à l’autre monde et avoir UNE AVENTURE avant de revenir à la grise réalité. Ce livre dont je vous parle est l’historie d’un homme qui, lui aussi, a été confiné dans sa vie. En lisant ce récit, j’ai suivi ses aventures à bout du souffle. En fait, ce qu’il a découvert n’était pas du tout le monde plus compréhensible (que j’avais imaginé) plutôt le contraire. Son histoire, ses échecs et ses victoires dans ce monde fantastique, qui se trouvait en-dessous de Londres, m’ont poussée à voyager et je n’ai jamais regretté.

Puis, j’apprécie tous les livres que j’ai lus de cet écrivain également pour les raisons linguistiques. J’admire la légèreté qui nous guide à travers du récit et, sans se rendre compte, on suit des appâts de mots déguisés comme des cailloux de Petit Poucet. J’ai particulièrement aimé les jeux de mots qui jouaient sur la prononciation.

Sans aucun doute, si vous, à l’endroit le plus profond et le plus caché de votre âme, vous vous retrouvez dans cette histoire, si vous, en cachette ou ouvertement, êtes un espèce de rêveur, un voyageur qui est perdu ou bien trop enraciné et qui n’a pas peur de la nuit sur le pont (à découvrir); on se croisera à Neverwhere, à Londres en-dessous.

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